Erik Satie

Erik Satie, né le 17 mai 1866 à Honfleur et mort le 1er juillet 1925 à Paris, était un compositeur et pianiste français. Malgré des études courtes au Conservatoire de Musique où il est peu considéré par ses professeurs, il compose de très nombreuses œuvres pour piano, orchestre ainsi que des œuvres vocales : Vers 1886, Erik Satie compose ses premières œuvres (Ogives) mais c’est en 1888 et 1890 qu’il obtient la faveur du public avec respectivement ses trois Gymnopédies et ses six Gnossiennes

Man Ray, Erik Satie, 1922 Epreuve gélatino-argentique, 8,4 x 5,3 cm Dation 1994 - AM 1994-394(3792) Photo Bertrand Prévost © Man Ray Trust/ Adagp, Paris Le Discours sur rien tient à la fois du retour réflexif propre à la tradition discursive d’Occident et de la distanciation Zen à laquelle John Cage fait régulièrement référence à partir de la fin des années 1940.[10] La distanciation amusée de l’artiste vis-à-vis de la discipline qu’il exerce comme de sa propre production est un aspect constant

Michel-Ange représente aussi bien la réflexion que la poésie. Musique : Alfred Eric Leslie Satie, dit Erik Satie, est né a Honfleur le 17 mai 1866 dans une famille de mélomane (son père était courtier maritime, devenu papetier et éditeur de musique ) mais pas de musicien. "Venu au monde très jeune...dans un temps très vieux" considérera-til plus tard...Sa mère est morte quand il n'était âgé que de 7 ans. Erik Satie a étudié d'abord l'orgue puis le piano. Il est entré au conservatoire de Paris à l'âge

possible en musique, il fut confié aux meilleurs professeurs. Titre : Ses principales références : - Il est enthousiasmé par la musique de Wagner, Chabrier et Satie ainsi que par l'école russe tandis qu'au niveau littéraire, il se porte vers Beaudelaire, Poe et Mallarmé. - Par l'intermédiare de son père, il rencontre Erik Satie qui est une de ses référence. Titre : Ses années d’étude. Durant ses premières années au Conservatoire (1889-1895), il démontre un talent pour les nouvelles expériences

Börlin et Francis Picabia au Théâtre des Champs-Élysées, donné par les Ballets suédois. Il représente à ce titre la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse. Le film est un hommage aux films burlesques de l'époque, la partition d'Erik Satie a été composée en suivant scrupuleusement le rythme des images du film en un temps où le film était encore muet. De ce court métrage, d'avant garde « qui ne respecte rien, si ce n'est le droit d'éclater de rire », comme disait Picabia ou, encore l'écrivain

Parade, ballet de Satie, Cocteau et Picasso : réception "Parade où l'on a découvert mille intentions, Parade, "ballet cubiste", Parade, folie, scandale, Parade "pétarade" pour les journaux illustrés à peu près comme le Sacre du printemps massacre le printemps." [1] Le 18 mai 1917, quand le rideau tombe sur Parade, un véritable tumulte d'applaudissements et de sifflets envahit la salle. Un grand nombre de "ballettomanes invétérés" [2] crie au scandale et quelques admirateurs manifestent leur enthousiasme

SÉQUENCE 4 ENSEMBLE LIBRE LE RENOUVEAU DE LA PENSÉE MUSICALE ET ARTISTIQUE AU TOURNANT DU XXème SIÈCLE À PARIS PLAN DE LA SÉQUENCE 1ère PARTIE Étude de deux œuvres « PETITE FILLE AMÉRICAINE », EXTRAIT DU BALLET PARADE DE Érik SATIE (1866-1925) • Partition de l’extrait • Guide de lecture • Guide d’analyse • Guide de manipulation • Corrigé du guide de manipulation « FETE POPULAIRE DE LA SEMAINE GRASSE », « DANSE DES NOURRICES », EXTRAITS DU BALLET PÉTROUCHKA DE IGOR STRAVINSKY (1882-1971)

Erik Satie (1866-1925, compositeur français) - Le morceau commence assez doucement avec une mélodie qui oscille comme quelqu’un qui s’endort, mais il lutte contre le sommeil qui veut le mener vers l’inconscient. - Il y a une répétition de la même mélodie mais un peu plus lente que la première, qui signifie que la personne ne peut pas continuer le combat. - L’inconscient prend le pouvoir de l’esprit conscient et le rêve commence. Satie utilise souvent la répétition des phrases et d’habitude

Erik Satie, compositor fancés, “gimnopedista” y “fonometrografo” (Honfleur, 1866 - Paris, 1925) Marie Muller “Me llamo Erik Satie, como una persona común y corriente” Con un toque de ironía cien por ciento escocés (como el de su madre), el humor de Satie llegaba a veces a calar los huesos. Un personaje fuera de lo común, “vestido de forma sombría, con el semblante pálido hasta la muerte y rodando los ojos en distintas direcciones como un camaleón, tenía sangre de sacristán y de bufón

costumes doivent être l’œuvre de peintres reconnus et la mise en scène fastueuse. Un des mots d'ordre de Diaghilev aux artistes était : "Etonne-moi !". Il engage ainsi : - les plus grands compositeurs : Igor Stravinsky, Claude Debussy, Maurice Ravel, Erik Satie, Francis Poulenc… - les plus grands peintres : Pablo Picasso, Marie Laurencin, Georges Braque. - les plus grands danseurs : la danseuse Pavlova et le danseur Nijinsky acquièrent dès les premières tournées une immense renommée. Igor Stravinski