Géorgiques

Microsoft Word - Orphée chez Virgile et Ovide - Dalibon-Berry-Pille.docx 1 Le mythe d’Orphée des Géorgiques de Virgile aux Métamorphoses d’Ovide, une étude comparative BERRY Maëva, DALIBON Nicolas, PILLE Juliette Résumé : Le mythe d’Orphée et d’Eurydice est l’un des plus connus et réécrit depuis l’Antiquité. Cette étude compare les versions de Virgile et d’Ovide, dans les Géorgiques et les Métamorphoses, en mettant en évidence les similarités et les différences entre les textes, et en analysant

Ronsard, est un poème de la Pléiade du XVIème siècle, extrait du recueil Premier livre des Amours (1584)qui peut être comparé à la rencontre entre le poète et Cassandre Salviati, durant une fête à la Cour. « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Les « Géorgiques IV » [485-503] de Virgile, est un poème antique, relantant la descente aux Enfers d'Orphée, afin d'y chercher son aimée Eurydice, morte. En effet, après la mort a de celle-ci, le poète Orphée avait obtenu

maison de français n°2 : Rédaction de la préface d’une anthologie poétique Thème : L’évolution de la poésie passionnelle de l’antiquité au XX ème siècle SOMMAIRE - Préface de l’anthologie poétique -Anthologie poétique : • « Georgiques IV » Virgile • « Le beau tétin » Clément Marot • « Une beauté de quinze ans enfantine » Pierre De Ronsard • « Et la mer » Pierre De Marbeuf • « La nuit de mai» Alfred De Musset • « A une passante» Charles Baudelaire • «  Mon rêve

vocant conditque natantia lumina somnus. Jamque vale : feror ingenti circumdata nocte […]. VIRGILE, Géorgiques, IV, v. 493-496. Traduction : ( 04 #2 1 5 # ' . 3 / % 6 8 7 Texte : Restitit, Eurydicenque suam, jam luce sub ipsa, Immemor, heu ! victusque animi respexit. Ibi omnis Effusus labor atque immitis rupta tyranni Foedera, terque fragor stagnis auditus Averni. VIRGILE, Géorgiques, IV, v. 489-492. Traduction : , ( % % 3 5 9 5 Texte : Musa, mihi causas memora

Messène. Leur amitié fut profonde ; ils unissait leur pauvreté et leur vers : « Audacieux enfants de la pauvreté » (Horace) Virgile finit les Bucoliques et commence les Géorgiques. Auguste comptait sur ces poèmes pour redonner aux Romains l’amour de la campagne. Octave est maître de Rome. Il revient de faire lire les poèmes des Géorgiques où déjà sa gloire est racontée. C’est alors que Virgile, jusque là poète des champs, se sent porter à donner aux Romains une œuvre digne de la gloire de Rome et digne

de Musset -> Romantique du XIXème * « Mon rêve familier », de Verlaine -> Symboliste du XIXème * « Je pense à toi », d'Apollinaire -> Esprit nouveau du XXème * « Une beauté de quinze ans enfantine », de Ronsard -> La Pléiade du XVIème * « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, oeuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous étudirons les différentes représentations de l'amour

d'Alfred de Musset -> Romantique du XIXème « Mon rêve familier », de Verlaine -> Symboliste du XIXème « Je pense à toi », d'Apollinaire -> Esprit nouveau du XXème « Une beauté de quinze ans enfantine », de Ronsard -> La Pléiade du XVIème « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, oeuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous étudierons les différentes représentations de l'amour

retrouve dans les œuvres de Virgil, de Simone Weil ainsi que dans celle de Michel Vinaver. En effet, dans Les Géorgiques, Virgil réalise une glorification du travail des paysans afin de rétablir la paix et la prospérité et donc en parallèle à Voltaire, éliminer le vice. Pour les deux auteurs, le travail est une valeur importantes et est même considéré comme une vertu. Toujours dans les Géorgiques, Virgil réalise l’éloge du pénible mais valeureux travail réalisé par les paysans. Travail qu’ils font en

Travestissements, malheurs, allégories, espoirs fous, nature mystérieuse, déceptions, le recueil, si fortement structuré cependant, laisse une impression de malaise et d'incertitude. Les Géorgiques, dix ans plus tard, sont l'œuvre d'un poète – c'est bien le même – qui s'est définitivement trouvé. Les « Géorgiques » et la doctrine du travail Virgile n'a pas changé dans son jugement sur la société : la plus noble et la plus solide humanité n'est à chercher ni dans les écoles des philosophes ni parmi

d'Alfred de Musset -> Romantique du XIXème « Mon rêve familier », de Verlaine -> Symboliste du XIXème « Je pense à toi », d'Apollinaire -> Esprit nouveau du XXème « Une beauté de quinze ans enfantine », de Ronsard -> La Pléiade du XVIème « Géorgiques IV » [485-503], de Virgile -> Lyrisme durant l'Antiquité Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, oeuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous étudirons les différentes représentations de l'amour