Germaine Guèvremont

de Ringuet 1945 : Le survenant de Germaine Guèvremont 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1948 : Les Plouffes de Roger Lemelin Question 2 1) La vague idéaliste du roman du terroir 1916 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon 2) La vague réaliste du roman du terroir 1937 : Menaud, Maitre-draveur de Félix-Antoine Savard 1938 : Trente Arpents de Ringuet 1933 : Un homme et son pêché de Claude-Henri Grignon 1945 : Le survenant de Germaine Guèvremont 3) Le roman de l’anti-terroir

En effet, le personnage principal, le Survenant, incarne l’être humain entièrement indépendant, libre de toute responsabilité ou de quelconque attachement. L’insouciance de ce personnage se traduit dès les premières lignes du roman, lorsque Germaine Guèvremont écrit que : « Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger.» (p.19).

Argument principale 1 Dans le roman de Germaine Guèvremont, Le Survenant, la vie sédentaire est véhiculée comme un idéal de vie. La petite communauté du Chenal du Moine, incarnée par la famille Beauchemin, représente la vision de la famille sédentaire. Cette vie sédentaire est idéalisée par un sentiment de sécurité lié à la possession de biens et à la continuation de la famille. Le personnage de Didace Beauchemin représente le sédentaire fier de sa terre et de ses bâtiments. L’utilisation d’une

qui suscita la réaction du Québec. Parmi ces succès se retrouve « Le survenant » qui eut droit a un prix de littérature ainsi qu’a une version diffusé à la radio et le premier téléroman diffusé a la télévision québécoise. Dans ce roman, Germaine Guèvremont semble vouloir nous démontré les bienfaits de vivre de la terre selon les coutumes québécoises à travers le personnage du Survenant. L’auteur nous enseigne par l’histoire du roman le bonheur de vivre sur la terre paternelle et les changement

Chenal du Moine, la vie sédentaire représente l’accomplissement global de leur vie. D’ailleurs, l’admiration qu’ont les habitants envers la richesse que produit leur terre, est une des raisons pour laquelle ils privilégient ce mode de vie. Germaine Guèvremont utilise une énumération afin de nous faire comprendre à quel point ces atouts sont importants pour eux : « Toute notre hivernement : notre bois, tu le vois, de la plane des îles, de belle grosseur; la fleur de sarrasin, […] On a tout ce qu’il

l’agriculture et le legs de sa terre à la famille. Citation : « (…) Mais je respecte votre maison… je respecte le père Didace… un vrai taupin, le meilleur chasseur du canton.» (p.126) Argument principal 2 Selon Germaine Guèvremont, l’auteure, le mode de vie nomade et citadin n’est pas un bon mode de vie, elle abaisse la vie urbaine. Sous-argument 2.1 : La ville est un encouragement à gaspiller de l’argent, à la fascination et à l’alcool. Citation : «L’argent dépensé

arpents de Ringuet 1945 : Le Survenant de Germaine Guèvremont 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1948 : Les Plouffe de Roger Lemelin Question no.2 1- La vague idéaliste du roman du terroir Extrait no.1 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon Extrait no.2 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard 2- La vague réaliste du roman du terroir Extrait no.5 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon Extrait no.6 : Le Survenant de Germaine Guèvremont 3- Le roman de l’anti-terroir Extrait

La Scouine d’Albert Laberge 1933 : Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon 1934 : Les Demi-civilisés de Jean-Charles Harvey 1937 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard 1938 : Trente arpents de Ringuet 1945 : Le Survenant de Germaine Guèvremont 1945 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy 1948 : Les Plouffe de Roger Lemelin Question no. 2 1- La vague idéaliste du roman du terroir Extrait no. 1 : Maria Chapdelaine de Louis Hémon Extrait no. 2 : Menaud, maître-draveur

amoureuse de lui. Sous-argument 2.3 : le survenant a permis à Phonsine d’extérioriser son instinct maternel qui sommeillait Étape 2 : Rédaction Par une analyse approfondie de l’œuvre, il est vrai d’affirmer que, dans Le Survenant de Germaine Guèvremont, le bonheur réside dans le nomadisme car le fait que survenant se déplace d’une région à une autre lui offre la liberté de choisir où il veut vivre tout en se sentant mieux dans sa propre personne. Premièrement, le survenant est maître de son

est pareil à moi : fort, travaillant, adroit de ses mains, capable de connaître la raison de chaque chose.» Le vieux se mirait secrètement... [à continuer] Intro : LE SURVENANT fait parti des romans du terroir québécois. Il a été écrit par Germaine Guèvremont et a été publié en 1945, au Québec. La terre (agriculture) et la famille montre en effet que ce romanfait bien parti du terroir. Dans LE SURVENANT, un soir d’automne les Beauchemin se mirent à souper lorsqu’une personne frappa à la porte. Cette