L Oeil Du Quattrocento Michael Baxandall

Monsieur Michael Baxandall L'œil du Quattrocento In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 40, novembre 1981. Sociologie de l’œil. pp. 10-49. Citer ce document / Cite this document : Baxandall Michael. L'œil du Quattrocento. In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 40, novembre 1981. Sociologie de l’œil. pp. 10-49. doi : 10.3406/arss.1981.2132 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/arss_0335-5322_1981_num_40_1_2132 michael Painting inet Oxford, Chapitre

lecture : Michael Baxandall, L'oeil du Quattrocento Michael Baxandall, L'oeil du Quattrocento, collection Bibliothèque illustrée des Histoires, édition Gallimard, Paris, 1985 ( édition originale : Oxford University Press, 1972 ). Table des matières Préface I. Les conditions du marché 1. Introduction 2. La relation contractuelle entre le peintre et son client 3. La valeur de l'oeuvre d'art et des matériaux 4. Le prix du savoir-faire 5. La perception du savoir-faire II. L'oeil du Quattrocento 1. La

Le 21 avril, il présente à un public composé tout autant de soignants que de patients de la clinique, une conférence sur les rituels des Indiens Hopis, qu'il mettra en relation avec le débat sur la civilisation mais aussi encore avec l'art du Quattrocento. Le résultat convainc les thérapeutes et Warburg sort de l'institution. Il continue sa recherche : - en travaillant sur un ouvrage inachevé, l'Atlas Mnemosyne, jusqu'à sa mort - en s’attelant au développement de sa bibliothèque. Il acquiert un

de répondre à la demande d’un client et de s’y conformer, s’il veut satisfaire sa clientèle et obtenir un gain en retour. L’artisan ici, ne fait pas ce qu’il lui plaît, mais plutôt ce qui réjouit le consommateur. Ainsi, Michael Baxandall nous explique dans son Oeil du Quattrocento le caractère indispensable de l'investissement de l'argent dans une oeuvre d'art durant la Renaissance italienne. C'est notamment le cas du duc de Ferrare qui payait les peintures au pied carré. Il explique par exemple

sociétés. En Grande-Bretagne, Michael David Kighley Baxandall, (1933 - 2008) publie Giotto et les orateurs en 1971, suivi par Patterns of Intention (1985), Ombres et Lumières (1994). Dans tous ses travaux, Baxandall s'emploie à éclairer les œuvres d'art par une exploration approfondie des conditions de leur production - intellectuelles, sociales et physiques. Issu de ses cours professés à la faculté d'histoire de Londres, son ouvrage le plus connu L'Œil du Quattrocento paru en 1972 s'emploie à démontrer