Passacaille

date de cette époque (1709). Pendant les périodes de Mühlhausen et de Weimar, Bach composa plusieurs de ses oeuvres majeures : les cantates Actus tragicus et Gott ist mein König (1707), les pièces pour orgue Alla breve en ré mineur (1709), Grande Passacaille en ut mineur (1716), Orgelbüchlein (1717), le Concerto "italien" pour le clavecin. Weimar est encore loin d'être la grande ville qu'elle sera à l'époque de Liszt et de Wagner. En 1708, c'est le Duc Wilhem Ernst qui y règne. Celui-ci est extrêmement

ses enfants. 1.3 La vision de l’art de la danse La danse, l’expression corporelle fait partie des arts depuis la nuit des temps. En Europe la danse dès le Moyen-Age s’est divisée en 2 Branches : La danse réservée aux nobles ( Menuet, La Passacaille … ) La danse populaire ( Bourrée, La Sardane … ) Souvent attachée à une région La danse « noble » a pris de l ‘ importance avec Louis XIV, lui-même excellent danseur, qui a permis la codifications des pas. La 2e évolution importante est

basses danses et branles. En 1589, Thoinot Arbeau mentionne dans son Orchésographie les principales danses connues à l’époque: gaillarde, pavane, branles, volte, allemande, gavotte, les canaries...mais aussi les premières danses baroques: Chaconne, Passacaille... 2. La danse imitative. Cette danse exige de la part du danseur moins d’agilité, de virtuosité que d’aisance à exprimer les passions de l’âme. Le danseur doit imiter par ses mouvements les sentiments du personnage qu’il représente. Les idées de

mode durant cette période.   MITONS Petites manches en fourrure, en chenille ou en tricot portées par les femmes autour de leurs poignets pour se préserver du froid.   PALATINE Etole de fourrure mise à la mode par la princesse Palatine.   PASSACAILLE A l'origine, nom d'une danse qui fut donnée sous Louis XIV à une sorte de cordelière dont la fonction était de maintenir le manchon près de la taille.   PASSEMENT Terme désignant les dentelles aux XVIème et XVIIème siècles. Il fut, par la suite

contrapunctique très virtuose : tantôt ce sont des imitations libres, le motif principal étant sans cesse transformé (comme dans la première pièce), tantôt Schoënberg fait appel au contrepoint strict du canon (avec des formes en miroir) de la fugue ou de la passacaille (n° 14, 17, 18).Le brio de l'écriture instrumentale transcende l'aspect cabaret - «un cabaret supérieur» dira Boulez -, mais le Sprechgesang y ramène inexorablement. La voix parlée-chantée, liée généralement chez Schoënberg au fantastique et à la

Royalle (Dieu des Enfers, La naissance de Vénus) Lully Marche pour la nopce champêtre–Jean Ballard –musette Madelon Friquet Passepieds « Dans ces déserts paisibles » « Pourquoi doux rossignol » Chaconne improvisée Le roi représentant le soleil Passacaille d’Armide, Lully Aimable vainqueur (Hésionne, Campra) « Air « Vous qui faites votre modelle, Hotteterre Chaconnes d’Arlequin le Bourgeois gentilhomme Lully Matelotte d’Alcyone, Marin Marais Madame de Sévigné : les lettres dansent LES ARTISTES

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

influences françaises. Exemple de ce double visage : l’utilisation de la basse obstinée. Signature musicale anglaise, très présente chez Purcell. On le nomme ground (air de Didon avant de mourir). Mais pour autant, on a l’équivalent en France, la passacaille ou chaconne selon la ligne de basse choisie.

pour faire vivre sa grande famille, Jean-Sébastien BACH laisse l'héritage d'une œuvre monumentale : Sonates, Préludes, Trios, Fugues, Fantaisies, Fantaisies et fugues, Préludes et fugues, Toccatas et fugues, Cantates, Chorals pour orgue, Motets, Passacailles, Variations, une vingtaine de Concertos, d'Oratorios, un Magnificat, des Messes, deux Passions, (Passion selon Saint Matthieu et Passion selon Saint Jean)... Jean-Sébastien BACH a donné le jour à une des œuvres majeures de l’histoire de la musique

retrouver les traces des musiques populaires à travers les emprunts que leur ont fait les musiques savantes. A l’époque de la Renaissance les branles, gavottes, et contredanses joués à la cour de François 1er sont des danses d’origine populaire. La passacaille, une forme musicale de la période baroque utilisée par Bach ou Haendel vient du pasa calle, passe rue des musiciens occitans lors des fêtes de village. Les nobles s’encanaillent en rejetant les codes musicaux trop stricts de l’église. A l’inverse