Pronom personnel

l’alexandrins de rimes riches ABBA ABBA CCD EED. « Le Fumeur » est un poème lyrique. Le lyrisme étant l’expression d’une émotion personnelle intense, la poésie lyrique traite des sentiments du poète On observe en effet les marques de la première personne du singulier avec la double occurrence du pronom personnel « je » aux vers 4 et 12 et les cinq apparitions du pronom clitique me aux vers 5, 6, 7, 8 et 10 ainsi que les déterminants possessifs »mon » et « ma » aux vers 4 et 6. Ce lyrisme donne au

communication : Certaines expressions contenues dans le message/énoncé renvoient à la situation de communication: ce sont les indices de personne, de lieu, de temps et les temps verbaux: 1. Les indices de personne : ce sont les pronoms personnels, déterminants et pronoms possessifs de 1ère et 2ème personne : o désignant l’émetteur: je, nous, notre, la mienne… o désignant le récepteur: tu, vous, votre, le tien… 2. Les indices de lieu : o lieu où l’émetteur parle ou écrit: ici, de ce côté… o

du narrateur. Sobriété et pathétique caractérisent cette scène finale du roman. I / Caractéristiques de la narration Toute la scène est racontée du point de vue de DG. Il utilise le "nous" qu'une seule fois. Le pronom personnel "elle" utilisé 5 fois dans le passage, ce pronom l'emporte sur le récit. Le narrateur multiplie les adresses à son interlocuteur, le MdR : ("Pardonnez" "je vous raconte" "n'exigez"). On voit que ce récit d'agonie se distingue par son économie. Il n’y a de longues scènes

1- C'est une aventure personnelle qui est censée nous être rapportée. Emploi du pronom personnel « je » Pronoms personnels, adjectifs possessifs de 1ère personne : « nos », « m'en ».  présence donc du « je lyrique »  Une méditation, un monologue imaginaire adressé à la femme aimée 2- La ponctuation supposée accentue le registre lyrique. - Interrogation : « Faut-il qu'il m'en souvienne ? » (vers 3) - Exclamations : vers 7. 15, 16 B. L’expression des sentiments personnels 1- Un cheminement progressif

regretté. Des Grieux commente son expérience dans le sens du remords. Le « hélas » de la première ligne indique quel jugement il porte sur son aveuglement passé et le sentiment qu’il a d’avoir commis une faute.       I 3 Répétition du pronom personnel « moi » Nous n’avions d’autre motif que la curiosité moi, qui n’avais jamais pensé à la différence des sexes ni regardé une fille avec un peu d’attention moi (…) dont tout le monde admirait la sagesse et la retenue Sans relâche, il multiplie

Chardin ! » le peintre lui-même * l. 21 : « Monsieur Pierre, regardez bien ce morceau… » M. Pierre, un peintre de l’académie * l. 33 : « Ah ! mon ami… » M. Grimm * l. 5 : Pronom personnel « on » Il guide le lecteur à travers le salon. * l. 10 : Pronom personnel « je » + possessif « mon » Il s’implique, lui et son enfant, dans son écrit. * Modalisateurs : « peut-être » (l. 11) et démonstratifs : « ce vase » (l. 12) * On a l’impression qu’il écrit en

écrire, sur la fonction du texte poétique. Nous verrons d’abord que le texte est le récit d’une expérience personnelle, qu’il donne une représentation duelle du poète, et qu’il permet au poète d’exprimer ses sentiments. I. Le poème permet au poète de faire le récit d’une expérience personnelle. A. Le texte évoque le poète qui s’exprime à la 1PS. Omniprésence du pronom personnel de la P1 « je » en fonction de sujet des verbes « aime ; cherche ; veux » et « me » fonction de complément

manière directe ou indirecte. La Fontaine prend clairement la parole et prend parti dans ses deux morales. Mais le récit lui-même, qui met en scène des animaux bien humains, nous guide vers la réflexion. II-1. Les deux morales et l'engagement personnel du fabuliste Par deux fois, au cours de la fable, le discours narratif cède le pas à un discours argumentatif à visée généralisante. On quitte le monde des animaux dans lequel le premier vers nous avait fait entrer « La femme du Lion») pour regagner

nouvelle I. Un incipit réaliste - L'histoire débute par la présentation d'un personnage féminin qui n'est pas encore nommée. On devine d'ores et déjà que c'est le personnage principal de ce récit. Nous trouvons plusieurs occurrences du pronom personnel "elle", comme si le personnage était connu de toujours par le lecteur, comme s'il n'avait pas besoin d'être présenté, procédé habituel dans un début de récit réaliste. - Maupassant choisit une narration par un narrateur omniscient, récit à la

rapporte les paroles en introduisant une subordonnée complétive. Ex : Il a dit qu’il aimait tant ses parents. Il se caractérise par l’absence de guillemets ainsi que des points d’interrogation et d’exclamation. On change les adjectifs, les pronoms personnels et possessifs ainsi que certains mots interrogatifs. NOTEZ BIEN : Lorsque le verbe introducteur est au présent, il n’y a pas de changement dans les temps des verbes ainsi que dans les indicateurs spatio-temporels lors du passage du discours