Royaume de Sardaigne

Lausanne où il donne un concert catastrophique - Rencontre d'un faux archimandrite - Voyage à Paris, puis retour à Lyon - Rencontre d'un prêtre homosexuel et d'un paysan - Retour à Annecy où Mme de Warens le fait entrer au cadastre du roi de Piémont-Sardaigne.

Fondateur de la croix rouge internationale et en grande partie père des idées des conventions de Genève Philanthrope. Prix Nobel 1901 Date du document : Septembre 1862 Contexte historique : Napoléon III signe un pacte avec le roi de Piémont-Sardaigne Victor-Emanuel II, qui a pour but de s’allier contre l’empire Autrichien en conquérant l’Italie du nord (Lombardie, Vénétie, Parme et Modène), napoléon est un ancien carbonari, Orsini opéra 1858, sympathie pour les peuples opprimés, bouleverser

Unification Italienne En 1859, L’Etat de Piémont-Sardaigne, gouverné par Victor-Emmanuel II, incarne le mouvement en faveur de l’unité italienne. Il est le dernier Etat à s’opposer à l’Autriche. Son premier ministre, Cavour, obtient le soutien de Napoléon III, qui appuie l’unité italienne à condition qu’on ne touche pas aux Etats du Pape. 1) En 1859, Victor-Emmanuel II déclare la guerre à l’Autriche avec l’appui de la France en échange de Nice et de la Savoie. Des combats permettent de

victorieuses de la défaite française dont les pays dominants sont, le Royaume-Uni, le Royaume de Prusse, l’Empire Russe et l’Empire d’Autriche se sont réunis lors d’une conférence internationale à Vienne. Le but est de réorganiser le continent italien. Après cette conférence, les états formés sont : le royaume de Piémont- Sardaigne, les duchés de Parme, de Modène et de Toscane, les états de l’église soit les états pontificaux, le royaume des Deux-Siciles, la Lombardie et la Vénétie qui sont cédées à l’empire

I- L’unité italienne: une unification progressive soutenue par la FranceCours du manuel Hachette p.144, à compléter par votre manuel1) Lisez attentivement ce résumé et repérez toutes les informations que vous pourriez représenter sur le croquis ci-contre pour présenter l’unification italienne. Classez ces éléments en faisant un petit plan et écrivez-les en légende. Choisissez ensuite des figurés adaptés et réalisez le croquis. 2) Lisez le cours de votre manuel et annotez cette feuille en ajoutant

Italiens difficile : 1) Situation politique   : en 1850, il n’y a pas d’État italien car l’Italie est divisée en de nombreux Etats ( 8 ) : duchés de Parme, Modéne, Toscane et Etat pontificaux au centre , deux royaumes ( au Nord : Royaume de Piémont- Sardaigne , au sud : Royaume des Deux Siciles) ; deux territoires sont occupés par l’Autriche au Nord ( Lombardie , Vénétie). → CARTE 2) Des aspirations à la démocratie et à l’unité nationale   : (flash back) Rappel pour recontextualiser

nombreuses associations évangéliques des sociétés de bienfaisance, de tir, des chorales et des cercles de lecture. L’éducation joue également un grand rôle dans la propagation de l’idéologie unitaire. L’enseignement primaire est généralisé dans tout le royaume; celui de l’enseignement secondaire se popularise et compte en proportion deux fois plus d’élèves qu’en France. L’unité allemande est largement l’œuvre d’Otto von Bismarck. Ce noble prussien aux opinions très conservatrices représente la Prusse à

propagande et aux insurrections. Ils prônent le manque d’unité italienne, et disent que ça retarde le « pays » par rapport aux autres Etats. Leur haine contre la tyrannie et le mysticisme parvient à se répandre à travers la péninsule, surtout dans le Royaume de Naples. Un autre courant se développe un peu plus tard, dans les années 1830 : le Romantisme. Le Romantisme prône l’idée d’une entité liée avec les masses. Mazzini souhaite un passage du libéralisme à la démocratie. Il permet au début des années

processus d’unification. Napoléon III apporte un soutien militaire à l’Italie et suite à la demande d’aide du premier ministre de Sardaigne Cavour, la Lombardie ainsi que l’Italie centrale est rattachée au royaume de Sardaigne.En 1848 l’Italie est divisée entre les Etats indépendants (les duchés de Parme, Modène Toscane centre, le Royaume des Deux-Siciles et celui de Piémont-Sardaigne) les états pontificaux (autour de Rome) et les territoires occupés par L’Autriche au Nord Est. Pour chasser les Autrichiens

frais de l’unité allemande ?I] La France et l’unité italienne : du soutien au désaccord A) Les espoirs d’unité italienne au lendemain de 1848Au milieu du 19e siècle, la nation italienne est divisée politiquement. Au nord, le royaume de Piémont-Sardaigne, au sud, le royaume des Deux-Siciles, au centre les Etats pontificaux (les Etats du pape) et le nord-est de la péninsule est dominé par l’Autriche-Hongrie (dominé par l’Empereur par François-Joseph jusqu’en 1916). Depuis l’occupation française à