Royaume de Sardaigne

toujours le cas. En effet l'unification de l'Allemagne ne s'est fait qu'au XIX ieme siècle : après que Napoléon n'eut disloquer le Saint Empire Romain Germanique. Le royaume le plus puissant de l'Allemagne est la Prusse. Il y va de même pour l'Italie dont le royaume le plus puissant était Piémont de Sardaigne. Le fait d'unir plusieurs royaume en un seule et grand pays était en général voulut par les nationalistes. Voici deux exemples de nationalistes italiens et allemand : Mazzini et Bismarc . Nous

objectif c’était de se rapprocher de l’Autriche avc une alliance franco-autrichienne qui pourrait contre balancer la puissance russe, ottomane et du royaume uni pour rééquilibrer les relat° européennes. 3. On peut dire que l’apogée du Second Empire se situe en 1856 car un traité est signé qui met fin a la guerre de Crimée (empire ottoman, Russie, royaume uni, France et la Prusse), signer à Paris car cela signe le retour de la France sur la scène européenne. Il se montre comme un des pacificateurs de

redécouper les territoires européens repris à la France, mais également assurer la paix en Europe en rétablissant l’équilibre des puissances Européennes en empêchant l’émergence d’un pays dominant. Les grands vainqueurs de Napoléon Bonaparte sont le royaume unis, l’Autriche, la Prusse et la Russie. Nous allons donc nous poser la question de savoir quel impact a eu le congrès de vienne en 1815 sur l’Europe (notamment pour les peules sans état). Afin de répondre à cette question, nous allons dans un premier

L ‘Allemagne, elle, est en pleine réunification dirigée par la Prusse. En 1866, sous le prétexte de désaccords dans l’administration du Holstein, Bismarck, le chancelier impérial prussien ( ministre-président du royaume de Prusse et chancelier de la confédération de l'Allemagne du Nord), provoque une guerre entre la Prusse et l’Autriche, soutenu par plusieurs États allemands( l’Allemagne du Sud). La Prusse remporte la bataille de Sadowa et impose la dissolution

rapporté par Tite-Live, historien de Rome, depuis sa fondation (ab Urbe condita). Présentation de l’auteur Présentation du contexte des deux inscriptions : Rome réprime une révolte des Sardes, conquis à l’occasion de la Première guerre punique (Sardaigne, province depuis 238, 231, 227 ? av. J.-C.) , le second texte illustre les opérations militaires contre Antiochos III le Grand, le roi séleucide, préalables à la conquête progressive de l’Orient hellénistique. Les deux textes magnifient l’action

éclatent à Milan et dans le royaume Lombard-Vénitien dirigé par l’Autriche. Cette vague contestatrice se répand ensuite dans toute l’Italie, et atteint les Etats de l’Eglise et le Royaume de Naples. Les espérances des révolutionnaires sont en fait doubles, libérales et nationales, en opposition avec l’Autriche, et les espoirs sont immenses. Les patriotes italiens (Cavour notamment) enjoignent le roi de Piémont, Charles-Albert, de réaliser l’unité de l’Italie autour de son royaume. Celui-ci entre alors

(→ Phocée) –, s'allient à Carthage. Après avoir détruit la flotte de Massalia (actuelle Marseille) à Alalia (en Corse, vers 540-535 avant J.-C.), les Étrusques laissent les Carthaginois (ou Puniques, comme on les appelle aussi) contrôler la Sicile et la Sardaigne, tandis qu'eux-mêmes s'installent en Corse et font de l'Italie leur chasse gardée. Cerveteri, sarcophage Depuis la fin du viie s. avant J.-C., les Étrusques dominent l’essentiel du Latium (région de l'Italie centrale, sur la mer Thyrénienne) et

la Lombardie et la Vénétie sont cédées à l'empire d'Autriche qui instaure le Royaume lombardo-vénitien sous domination autrichienne. La maison de Savoie récupère le Piémont, Nice et la Savoie et entre en possession de Gênes. Le pape retrouve les États pontificaux mais, malgré les efforts de son représentant Consalvi, ne peut récupérer ni le Comtat Venaissin, ni Avignon. Le Bourbon Ferdinand Ier retrouve son royaume des Deux-Siciles. Les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla sont attribués

révolution européenne. L'isolement de chacune des révolutions particulières et la divergence de leurs buts est la cause majeure de leur échec. Congrès de vienne : royaume uni : gagne les colonies hollandaises et françaises, + points stratégiques. Autriche : renonce pays-bas gagne italie du nord se renforce en europe danubienne Royaume paysbas : gagne belgique perd ses colonies pologne : réduite à la république de cracovie, laquelle est annexée en 1846 confédération helvétique : confirmation existence

catholique et s'organisait ainsi : * la monarchie : * la couronne de Castille, relativement unifiée : * le royaume de Castille et Léon, * le royaume de Navarre, * la titulature incluait toujours les royaumes historiques fondus dans celui de Castille (Galice, Tolède, Murcie, Grenade, Séville, Jaen...), * les vice-royaumes d'outre-mer (Nouvelle-Espagne et Pérou, redécoupés par la suite), * les trois provinces basques (Biscaye, Guipuzcoa et Alava)