Stuart Price

De la liberté, 1859 John Stuart Mill Traduction de Charles Dupont-White, revue et corrigée par Caroline Miller Wikisource 2012 Le grand principe, le principe dominant auquel aboutissent tous les arguments exposés dans ces pages, est l’importance essentielle et absolue du développement humain dans sa plus riche diversité. (Wilhelm von Humboldt : De la sphère et des devoirs du gouvernement.) Je dédie ce volume à la mémoire chérie et pleurée de celle qui fut l’inspiratrice, et en partie l’auteur

dissuasion qui est selon lui le « but principal des peines et aussi leur raison justificative ». b) La loi comme prévention et mise en oeuvre de la morale : La théorie de la loi comme mise en oeuvre de la morale apparaît véritablement avec John Stuart Mill qui écrit en 1859 un essai intitulé On Liberty dans lequel il propose le principe de non-nuisance (no-harm principle). Selon ce principe, il y a usage justifié de la loi à l’encontre de la liberté d’un citoyen dans le cas exclusif de la prévention

un  nationalisme frustré par la défaite de 1870 l'occasion d'une reconquête du rang de  grande puissance ; c’est l’objectif des républicains Gambetta et Ferry (Cf. discours de                                                          3  Cf. John Stuart Mill (1862) : "Cette théorie fausse de politique coloniale […] qui regardait les colonies  comme  précieuses,  parce  qu'elles  fournissaient  pour  nos  productions  des  marchés  que  nous  pourrions  garder  pour  nous  seuls :  un  privilège 

langue anglaise et l'idéologie libre-échangiste, qui a dominé la conception anglaise des relations humaines et commerciales depuis David Hume (1740) et Adam Smith (1776), lesquels ont inspiré les doctrines libérales de David Ricardo (1817) et John Stuart Mill (1848)6. Toutefois, la démographie des pays anglo-saxons étant moins dynamique que celle de certains pays émergents, la part de la population mondiale ayant l'anglais pour langue maternelle pourrait diminuer, passant de 9 % en 2000 à 5 % d'ici

motiver, partager, innover, gérer des projets sont des conditions de progrès, conditions inhérentes à une éducation performante en qualité, efficacité et efficience. Émile Durkheim refuse la vision de l’éducation présentée par les libéraux, tel John Stuart Mill, qui font de l’éducation un moyen d’accomplissement individuel. Durkheim est marqué par la pensée de Jean-Jacques Rousseau pour lequel l’éducation passe par la reconnaissance de la dépendance de l’individu vis à vis des " choses " et l’adaptation

La révolution industrielle: chapitre 1 (semaine 1) • Adam Smith (1723-1790): chapitre 2 (semaines 2) • David Ricardo (1772-1823) et Thomas Malthus (1766-1834) chapitre 3 (semaine 3) • Robert Owen (1771-1858), Charles Fourier (1772-1837) et Stuart Mill (1806-1873) chapitre 4 • Le dernier des classiques : Karl Marx (1818-1883) chapitre 5 (semaines 5 et 6) 4 Département de sciences économiques Cours ECN 548 Histoire de la pensée économique I - Plan de cours - 1. Économie politique classique

spécialisation est de deux voitures. Ainsi d’après la loi des avantages comparatifs, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les productions où il possède la plus grande supériorité ou la moins grande infériorité. Toutefois, comme le souligne John Stuart Mill (1848), cette spécialisation (sur la base des avantages comparatifs) n’est favorable que si la demande étrangère de produits nationaux est suffisante. Si en effet, la demande de voitures en Allemagne est faible, l’échange risque d’être défavorable

cette image ? 10/ Qu'est-ce que le mythe d'Aristophane ? 11/ Qu'est-ce que la figure de Don Juan nous révèle à propos de la nature du désir ? 12/ Que signifie l'idée de Bergson selon laquelle le bonheur est une “création de soi par soi” ? 13/ John Stuart Mill affirme qu' “il vaut mieux être un homme insatisfait qu'un porc satisfait”. Qu'est-ce que cela veut dire ? 14/ Quel est le type de société qui est décrite dans Le meilleur des mondes de Huxley ? 15/ Que signifie l'idée d'un “droit au bonheur”

 xplication de texte complète Explication de texte de John Stuart Mill, extrait de De la liberté (1859)   Introduction - Thème : Les limites de l’intervention légitime d’une communauté sur l’action de ses membres. - Thèse : Pour John Stuart Mill, cette intervention doit être strictement délimitée, elle n’est légitime que pour empêcher quelqu’un de nuire aux autres. Il sera nécessaire de comprendre ce que signifie cette nuisance, laquelle ne présente pas les caractères de l’évidence. Il ne s’agit

individu à faire (ou à ne pas faire) une action que si cette action porte préjudice à autrui. Pour soutenir cette thèse, énoncée dans la première phrase, John Stuart Mill récuse d’abord l’idée opposée : vouloir forcer un individu à agir (ou à ne pas agir) au nom d’un idéal de bonheur, de sagesse ou de justice est selon lui injuste. John Stuart Mill introduit alors une distinction conceptuelle qui lui permet de justifier sa thèse : il sépare la « contrainte » de la « persuasion » : si une communauté