commentaire Verlaine chevaux de bois
Théâtre : Verlaine se pose en metteur en scène : on a l’impression qu’il donne des ordres à des automates obéissants « bons chevaux » : il est le maître. Ironie ?
Théâtre : image des corps sur les chevaux.
Univers médiéval/ Amour : le chevalier et sa belle
Image du cirque ?
Attention, ça le saoule : image de la fatigue, de la mélancolie : Mathilde ?
Joue sur le mot « tournoi » : bataille mais aussi tournoyer ?
Les petites gens (soldat et bonne) profitent de l’absence de leurs maîtres : ici réalité marquée par le CCL « bois de la Cambre » qui précise le cadre spatial
L’écriture poétique rend compte d’un malaise, c’est une expression des conflits qui rongent l’homme de l’intérieur. C’est une expression du "Moi" le plus profond et le plus souffrant. Dans son recueil Romances sans paroles, Verlaine invente une nouvelle écriture, une écriture qui se veut proche du projet rimbaldien : « Je est un autre », tout en restant fidèle à sa propre esthétique.
Romances sans paroles est composé de quatre sections bien distinctes qu’on peut mettre en parallèle avec la vie de l’auteur.
« Les Ariettes oubliées », par leur titre, évoquent des petites mélodies telles qu’en écrivait Favart au XVIII siècle. Ces neufs pièces lyriques cherchent à traduire l’émotion par l’intermédiaire d’une peinture très nuancée de situations extérieures, atmosphères ou paysages. Elles ont été composées durant les quelques mois d’accalmie qui suivent le retour de Mathilde auprès de Verlaine en mars 1872. Mais le flou règne dés le départ dans l’œuvre où l’identité de l’être aimé évoqué dans ces poèmes reste si incertaine qu’on a pu voir dans un même poème tantôt l’un (Mathilde) tantôt l’autre (Rimbaud).
« Paysages belges » concentre l’écriture sur l’évocation de paysages. Cette partie est celle qui présente le plus la technique de la composition musicale et de la peinture impressionniste : à voir ?. Cette section reconstitue