Suite à la défaite de la Secondaire Guerre mondiale, le Japon à eu l’abolition du système impérialiste qui constitue à être une politique de domination. Cependant, les Japonais ont tout de même conservé, un système social qui leur ressemble. C’est-à-dire que, maintenant, c’est les entreprises qui ont remplacé l’empereur et grâce au maintien du patriotisme de ses employés, la hiérarchie sociale dans le monde du travail est extrêmement sacrée. Par ailleurs, la société japonaise préfère davantage le conformisme à l’individualisme puisque les Japonais, n’ont pas d’empathie dans leurs relations et c’est ce qu’apprendra l’auteure Amélie Nothomb, dans le roman d’autofiction Stupeur et Tremblement. Amélie Nothomb, est une auteure d’origine belge qui a vécu jusqu’à cinq ans au Japon. Alors, ce sont les souvenirs de cette enfance heureuse qui l’a poussé à vouloir revenir s’y installer à l’âge adulte. Cependant, sa chute sociale au sein d’une entreprise japonaise inspira le thème de son roman, c’est-à-dire, une tentative ratée pour une intégration sociale et raciale. Elle publie en 1999 son roman Stupeur et Tremblement, dans lequel elle dénonce l’aliénation provoquée par la culture japonaise en tournant cela à la dérision non seulement par rapport au travail japonais, mais toute la culture nippone tant dans la forme que du contenu du texte.
Tout d’abord, Amélie Nothomb tourne en dérision le monde du travail japonais en s’attaquant à ses supérieurs et à son travail effectué pour la compagnie. En effet, elle se moque du vice-président de l’entreprise japonaise pour laquelle elle travaille. Celui-ci se prénomme M.Omochi. De plus, elle associe ce personnage à un ogre, étant donné sa grosse voix : << Il s’arrêta au milieu de la pièce et cria, d’une voix d’ogre réclamant son déjeuner. >> Par ailleurs, Nothomb se moque de son obésité tout au long du livre, c’est pourquoi elle le surnomme << l’obèse >>. Tout le mépris que peut avoir Amélie vis-à-vis M. Omochi, nous présente ce