Mégalopole jamonaise

908 mots 4 pages
Il faut avouer que le corps nous entraîne parfois à travers de curieuses expériences. En parlant d’expériences je veux bien sur faire référence aux plaisirs de la chaire. Le fait est que personne ne peut y échapper. Ou tout du moins ne peut se soustraire à ne pas y penser. Je dois admettre que j’y pense moi-même assez souvent. D’ailleurs, une anecdote me vient à l’esprit; celle d’un certains cours d’histoire-géographie dans lequel, comme à ma grande habitude, je laisse mon esprit voyager au delà, dans de lointaines et vastes contrées. Ce cours avait comme sujet le Japon. Ce fut pour moi un vecteur fantastique de fantasme dans lequel l’œuvre de chaire et son pêché ont largement entretenu mon esprit lors de la journée entière. C’était dans une chambre dont les murs étaient d’un blanc immaculé. Seul un tableau, représentant une tige de bambou accompagné par quelques inscriptions de ces écrits asiatiques incompréhensibles, troublait ce nuage mural. Le mur de gauche avait été remplacé par une porte coulissante de bois clair. Le lit était recouvert d’une épaisse couette bleue marine et côtoyait une table de chevet noire, elle aussi en bois. Une couche de feuilles de menthe séchées recouvrait partiellement la moquette. Derrière moi, les fenêtres diffusaient une lumière aux doux reflets d’or. Dans la pièce régnait un silence que nul ne saurait et n’oserai troubler. Ce n’est qu’après cette vue d’ensemble de la pièce qu’elle entra. Elle était belle. Pareille aux nymphes, beauté allant au-delà de toute imagination. Ses yeux noirs en amande, sa fine bouche, son nez, tout son visage n’était qu’harmonie.Ses cheveux bruns étaient soigneusement attachés par deux baguettes. Et son corps était tout simplement parfait. Les courbes de cet être étaient divinement dessinées, si bien proportionnées qu’à travers sa nuisette je sentais déjà un semblant de ferveur monter. Sans dire mot, elle se déshabilla. J’eux ainsi le temps d’admirer une nouvelle fois cette chaire qui si bien faite ne

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