Poèmes style cadavre esquif
Mon cœur tel un œuf bien blanc,
Cache au final un arbre bien dur,
Qu’on nomme Acacia !
Quand je ère dans les rues de Paris, je lève la tête en direction du ciel qui sort tout juste du crépuscule je vois un soleil ou une lune en forme de chaussure et il me parraît si merveilleux et si …!
Si tu as froid en hiver,
Et si tu te plains j’irai jusqu’à mettre des bougies aux plafonds miséreux, pour que la cire coule et fonde au plus profond de ton âme
Tempête de sable,
Caillou infime qui se cache avec ses miilards de billard de caillou infimes, tu sais que je ne pourrai jamais te retrouver alors tu en profites pour me fouetter le visage me marteller la fesse et pourquoi pas m’aveugler au passage, sadique !
Ma colère si stupide soit telle, je le sais ne veux plus rien exprimer plus rien dire !
Personne ne l’écoute
Personne ni prête attention
C’est comme ci ma colère était un orage , enfermé et condamné à suffoquer dans un verre pour l’éternité !
Un passant vétu d’un chapeau couleur noir,
Se promenait dans la rue Saint-Pétersbourg ce matin la,
C’était si merveilleux, si jolie, si éblouissant à voir,
Cette neige sotillait couler glissait si bien sur son smoking
Bougis de bonheur,
Ta bonne humeur donne au gâteau fondant un arrière gout de joie,
Cerise bien enchanté de faire la connaissance de monsieur le gâteau bien chocolaté,
Me donne bien l’envie de vous mangé !