Conjonction de coordination

La conjonction de coordination "ni" est invariable, et SERT à coordonner des phrases mais aussi des sous-phrases c'est-à-dire ne contenant pas forcément un verbe conjugué. Elle permet d'éviter les répétitions qui alourdiraient inutilement le texte : - Arthur ne souhaitait ni parler ni écouter, au lieu de Arthur ne souhaitait pas parler et ne souhaitait pas écouter. - Ni lundi ni mardi - Il ne croyait ni à Dieu ni au diable. On dit que "ni" est la conjonction de coordination employée

ridicule en son maintien » « le nez pointu, le regard d’un taureau … ») et les éléments positifs, dans la deuxième partie de la phrase (« une force d’âme prodigieuse, un invincible courage… »). Dans les deux cas la bascule s’opère par la conjonction de coordination « mais ». Cette analogie dans la construction renforce le propos, les deux descriptions cherchent à concilier le plaisant et le sérieux. II / L’objectif de ce prologue 1) Quel est le but de cette première page ? Elle sert à préparer

« Eh bien ! Camille, ces femmes ont bien parlé ; elles t’ont mise dans le vrai chemin […] », quel registre est à l’œuvre dans cette phrase ? 11) Quelle est la cible du réquisitoire de Perdican ? 12) Observez et commentez l’emploi de la conjonction de coordination « mais » dans la dernière tirade. 13) Relevez les comparaisons utilisées par Perdican. Quelles sont les impressions crées chez le lecteur ? 14) Comment Perdican donne-t-il à son réquisitoire une portée universelle ? 15) Reformulez en

25/27 contre la reine par le verbe « étrangler » par rapport au Lion « Venez Loup.. » succession de l’impératif qui ordonne un châtiment cruel. Le fait même qu’il y est un flatteur (puisqu’il dénonce) « Et soutint qu’il l’avait vu rire » la conjonction de coordination plus le verbe « soutenir » peur donner un sentiment de révolte par rapport au cerf (le fait même que cela n’est peut-être pas vrai). Sourire : Le comportement des animaux : le roi par sa naïveté croit le mensonge du Cerf « Votre digne

observation d'indices(« des traces singulières »), à la manière d'un détective, après la conjonction de coordination « or ». Une nouvelle précaution est prise pour éviter le caractère hâtif des déductions : le sol « paraît » avoir été remué (l.10). Il rappelle ensuite une hypothèse écartée (« le trésor n'est point à la surface ») avant d'en venir à la conclusion avec la conjonction « donc »(l.12) qui marque la conséquence. Il ne manque plus dès lors que la preuve par la confrontation

prodigieuse, un invincible courage… »). éléments négatifs(« ridicule en son maintien » « le nez pointu, le regard d’un taureau … ») et les éléments positifs, dans la deuxième partie de la phrase Dans les deux cas la bascule s’opère par la conjonction de coordination « mais ». Cette analogie dans la construction renforce le propos, les deux descriptions cherchent à concilier le plaisant et le sérieux. Dans un second temps nous analyserons quels sont les but de ce prologue. cette première

et surtout il joue sur la crédibilité de Monsieur Jourdain en lui suggérant de ne pas dire que le bijou venait de lui et n’hésite pas à le ridiculisé aux yeux de Dorimène (l .16.17) 8) Dans le fragment de phrase (l 14-15) ET est une conjonction de coordination qui sert à lier les parties du discours. 9) Définitions : a- « Galant homme » : Empressé auprès des femmes qui cherche à leur plaire, courtois, poli. b-"homme": mot de nature distincte: humain(adjectif,nom masculin)_Gentilhomme(nom

sur l'eau est relié au sol. Cette union est d'ailleurs mise en relief dans la première strophe lorsque l'auteur évoque cette odeur qui mêle « l'algue et la rue ». Dans cette expression, Supervielle souligne le lien terre - mer par la conjonction de coordination « et » qui met les deux mots sur un même plan. De la même façon, dans la strophe suivante, il est question des « femmes de la mer » ; sans aucun doute, il s'agit des femmes des pêcheurs mais cette expression nous fait plutôt penser à des

ici n’est pas exhaustive. Il y a tellement de mots-lien possibles ; nous vous rappelons ici les principales conjonctions de coordination, les adverbes (c’est-à-dire des compléments circonstanciels ne se composant que d’un seul mot et non pas tous les compléments prépositionnels) et enfin les conjonctions de subordination. 1. Les conjonctions de coordination. Les conjonctions de coordination relient deux propositions principales (= les phrases simples) et ne font donc pas partie ni de l’une ni de l’autre

propositions. Il est conseillé d’améliorer vos phrases en donnant des détails en employant des propositions subordonnées conjonctives ou des propositions subordonnées relatives.  Les propositions subordonnées conjonctives sont introduites par une conjonction de subordination (because, although, that, whether, if, after, before, etc),  Les propositions subordonnées relatives sont introduites par un pronom relatif (WHO pour une personne ou assimilée, WHICH pour tout ce qui est inanimé, WHOSE pour indiquer