Diogène Laërce

mauvaise nouvelle; sûr de ses capacités médicales, Héraclite se prescrit son propre remède: Il demanda qu'on le couvre entièrement de fumier et qu'on le laisse dehors (dehors, oui, en effet, il valait mieux...). Voici quels sont les propos de Diogène Laërce: "Incapable qu'il était de se débarrasser de ce fumier, et étant ainsi méconnaissable, il fut dévoré par des chiens". Fin charmante. Socrate : Tout le monde connaît l'histoire de la ciguë, on la retrouve dans le Phédon de Platon (notons d'ailleurs

Le logos[modifier]εἶναι γὰρ ἓν τὸ σοφόν, ἐπίστασθαι γνώμην, ὁτέη ἐκυϐέρνησε πάντα διὰ πάντων. « II n’y a qu’une chose sage, c’est de connaître la pensée qui peut tout gouverner partout. » (Fragment 41, Diogène Laërce, IX, 1) Cette connaissance est la sagesse, et elle consiste à suivre l'un : νόμος καὶ βουλῇ πείθεσθαι ἑνός. « La loi et la sentence sont d’obéir à l’un. » (Fragment 33, Clément d'Alexandrie, Stromates, V, 116) ἓν τὸ σοφὸν μοῦνον λέγ­εσθαι οὐκ ἐθέλει καὶ ἐθέλει Ζηνὸς ὄνομα

plusieurs voyages, notamment à la cour de Denys en Sicile. On admet enfin qu'il revint à Athènes et y fonda une école, l'Académie, où il enseigna plusieurs années. Jeunesse Platon est né à Athènes dans le dème de Collytos, en 428/427 av. J.-C. (Diogène Laërce le fait toutefois naître à Égine), deux ans après la mort de Périclès[p. 1]. La date exacte demeure cependant incertaine : une tradition[8] la fixe à la troisième année de la 88e olympiade, au 7 du mois thargélion. Platon venait d'une famille

Épicure, né à Samos selon une tradition[1], ou selon l'opinion la plus courante rapportée par Diogène Laërce, à Athènes, dans le dème de Gargettios, en -341. Son père, Néoclès, enseignait la grammaire et sa mère, Chérestrate, était magicienne. Épicure semble avoir été élevé à Samos (peut-être même y est-il né, son père étant un colon athénien), puis il vint à Athènes pour y accomplir son service militaire vers l'âge de 18 ans, avant de partir rejoindre son père à Colophon, au nord de Samos, en -323

Platon est né à Athènes dans le dème de Collytos, en 428 – 427 av. J.-C., pendant l'archontat d'Aminias (Diogène Laërce le fait toutefois naître à Égine), deux ans après la mort de Périclès (en -429), lors de la guerre du Péloponnèse (de 431 à 404)p. 1. La date exacte demeure cependant incertaine : une tradition4 la fixe à la troisième année de la 88e olympiade, au 7 du mois thargélion, qui correspondrait au 21 mai de l'an -429. Mais les sources à ce sujet relèvent essentiellement de calculs fondés

philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Diogène Laërce dit de lui qu'il est de six ans plus jeune que son ami Isocrate2. Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, est d'une grande richesse de style et de contenu, et produit, sur de nombreux sujets, les premières formulations classiques

d'autres philosophes de l'Antiquité, il est souvent difficile de distinguer l'histoire et la construction littéraire. Jeunesse[modifier] Platon est né à Athènes dans le dème de Collytos, en 428 – 427 av. J.-C., pendant l'archontat d'Aminias (Diogène Laërce le fait toutefois naître à Égine), deux ans après la mort de Périclès (en -429), lors de la guerre du Péloponnèse (de 431 à 404)[p. 1]. La date exacte demeure cependant incertaine : une tradition[4] la fixe à la troisième année de la 88e olympiade

de précision est compréhensible lorsqu’on embrasse la totalité du texte. Le point de vue de l’auteur ne permet pas de longues descriptions sur la vie de Platon. c. Vie de Platon, Diogène Laërce Cette partie de la vie de Platon est la plus détaillée dans la Vie de Diogène Laërce au livre III des Vies et opinions des philosophes illustres. Les premiers paragraphes sont consacrés aux origines du philosophe. Il semblerait que ce schéma répond aux exigences de l’auteur qui place

les dieux prêtent une attention particulière à notre monde; ils sont, en outre, inutiles à sa doctrine philosophique. Bibliographie : seules trois lettres (lettres à Hérodote, à Pythoclès et à Ménécée) et quelques maximes furent conservées par Diogène Laërce. On trouve des informations complémentaires sur la philosophie d'Épicure chez des auteurs latins comme Cicéron, Sénèque, Plutarque et Lucrèce. Ce dernier expose l'épicurisme dans son poème "De rerum natura" (De la nature). Lucrèce : Titus

mais plus une philosophie des stoïciens, des pythagoriciens ou encore ses cyrénaïques. Il se désespérait malheureusement du manque de livres les concernant. Il nous parle juste après de la vie de Diogène Laërce, nous racontant qu’il aimait les plaisirs de la vie, et vivait même avec une prostituée. Pour Diogène, les plaisirs du corps sont supérieurs aux plaisirs de l’âme. Les cyrénaïques étaient donc pour le plaisir et Onfray fait donc le rapprochement avec les universités trop « coincées » par rapport