Diogène Laërce

Antisthène est né d’une mère Thrace et d’un père athénien, il est donc considéré comme un demi-citoyen. Maître malgré lui, Antisthène ne voulait aucun disciple. Cependant, Diogène de Sinope par son acharnement réussit à devenir son premier disciple. Selon l’histoire, lorsque Antisthène chercha à expulser Diogène avec un bâton, Diogène approcha sa tête et dit : « Frappe, tu n’auras jamais un bâton assez dur pour me chasser, tant que tu parleras! ». L’école Cynique est une école socratique, c'est-à-dire

l’interculturel ou plutôt ? ou encore cadre de référence . Qui dit interculturel convoque ? et la présence « étrangéitique » de l’autre. Si le cynique Diogène de Sinope ? « Comme on lui demandait d’ou il était, il répondit : je suis citoyen du monde ». Comme le souligne Stéphane Doualler à une question posée dans un langage ordinaire de provocation à se localiser Diogène de Sinope répondu dans le langage philosophique ou existentiel en ouvrant à une dimension « inattendue, déconcertante ». Une réponse pédagogique

surtout par un de leurs disciples très célèbre, Diogène de Sinope (413-324 av. J.-C.). Le concept de leur philosophie est « de revenir à la nature en méprisant les conventions sociales, l’opinion publique et la morale communément admise ». Ce terme « cynisme » provient du grec ancien : « kuôn » voulant dire « chien », faisant référence à leur attitude de vigilance hargneuse, comme celle de son créateur Antisthène, et celle de son disciple Diogène, considéré comme le tout premier cynique. On peut

Diogène de Sinope Sa vie : Diogène de Sinope, en grec ancien Διογένης / Diogénês (Sinope v. 413 – Corinthe, v. 327 av. J.-C.), aussi appelé Diogène le Cynique, est un philosophe grec de l'Antiquité et le plus célèbre représentant de l'école cynique. On prétend, qu'ayant consulté l'oracle d'Apollon pour obtenir un conseil sur sa carrière future il obtint cette réponse surprenante : «Falsifier la monnaie». Diogène suivit ce conseil à la lettre. Voilà notre jeune ambitieux entraînant Hicécias, son

les chemins de l'être, celui du non-être et la possibilité d'un troisième chemin. Les Cyniques insistent sur la notion de joie individuelle, d'ascèse et de liberté (« Ôte-toi de mon soleil » disait ainsi à Alexandre le Grand le philosophe cynique Diogène de Sinope)

prendre?) Le philosophe grec Diogène le cynique, diogène de sinope (-4OO avant JC), souligne l’ambiguïté de rapport de possessions, expliquant pourquoi on ne peut par être heureux en son saint. Diogine pose la question de savoir qui possède qui. Est-ce le sujet qui possède l'objet ? Ou l'inverse. La possession d'un bien me rendrait heureux mais je dépend alors de ce bien, de telle sorte que je ne suis bien sans lui et que c'est lui qui me possède. Cette objection de Diogène fait apparaître que le bonheur

sur Hippocrate le Grand, un médecin dont la vie est peu connue et un homme important de la période antique ainsi que sur Diogène le Cynique, un philosophe grec de l’antiquité qui a représenté l’école cynique. Qui étaient ces prodiges et qu’ont-ils fait pour qu’on se souvienne encore d’eux aujourd’hui? Premièrement, vous pourrez avoir un aperçu de la Grèce à l’époque de Diogène. Vous aurez ensuite accès à une biographie de ce dernier, à une description de son travail et de ses exploits puis, pour

Tous les objets peuvent être source d’aliénation chez un homme, tout dans notre société actuelle peut être source d’aliénation, ce n’est pas les objets en eux-mêmes qui sont importants mais plutôt ce que l’on associe à ces objets. Le syndrome de Diogène peut être une explication à cela. Ce syndrome est le fait qu’une personne entasse énormément d’objet chez elle car ces objets lui fabriquent un cocon protecteur qui la défendront de toutes les mauvaises choses qui peuvent lui arriver. Le besoin d’avoir

Mais cette unité ne résiste guère et très vite on retrouve des émirats turcs ou arabes. Dans les années qui suivent, les Seldjoukides poursuivent leur progression en Asie Mineure byzantine et, le 19 août 1071, ils battent l'empereur grec Romain IV Diogène à la bataille de Mantzikert. Profitant ensuite des divisions byzantines, ils conquièrent pratiquement toute l'Asie Mineure. Antioche passe sous leur contrôle ; ils rejettent également les Fatimides d'une partie de la Palestine et deviennent les nouveaux

c’est le début de la dynastie des Turcs Seldjoukides et du sultanat des Grands Seldjoukides. Le sultanat s’étend rapidement vers l’Ouest, au détriment des musulmans non Turcs, puis, après 1071 et la bataille de Manzikert où le basileus Romain IV Diogène est capturé par Alp Arslan, successeur de Tughrul Beg, sur toute l’Anatolie byzantine (les Turcs atteignent Nicée[4], aux portes de Constantinople, en 1078). Théoriquement unifié, le sultanat seldjoukide se fragmente en fait régionalement dès la mort