Texte Argumentatif Justice

beaucoup de chiffres. * Ligne 23 : « usage » * Ligne 37 : pas de prison, pas de délinquance 3. Qui dissimule une pensée critique c. Satire de la société de son époque * Société trop fondée sur le matérialisme * Ironie : la justice est inutile, elle rend la société encore pire, inefficace * La monarchie absolue : un roi trop distant => anaphore de « si » * Société fondée sur l’inégalité : homme/Femme d. Valeur qu’il propose pour améliorer la vie sociale

qu’il a subie. - 2 séquence: Il raconte la raison de l’affront et il dit que la personne doit être tué On peut voir la volonté de Don Diègue à travers les temps verbal c’est-à-dire l'impératif. Ce dialogue est aussi un texte prescriptif parce qu' il doit convaincre son fils. C’est un texte ou l'interlocuteur n’a ni le temps ni le droit à une réplique. Il n’y a pas besoin de didascalie. Don Diègue apparaît comme une personne déterminée, il veut que la vengeance doit être accomplie à n’importe quel prix

évoque à la fois la force du hasard et la déchéance prévisible des indiens. Montaigne déplore que cette conquête se soit produite de son temps alors que les anciens comme Alexandre sont considérés comme model de vertu et de sagesse. Il est model de justice. Cette conquête est présentée à travers un champ lexical ou métaphore filée de l’agriculture de même que l’agriculteur travaille la terre (brut, sauvage), conquérant idéal, va lui aussi être en mesure de bonifier ce qui se présente à lui. Le fait

usurpation et ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle de ceux qui obéissent : en sorte que , si ces derniers deviennent a leur tour les plus forts, et qu’ils secouent le joug, ils le font avec autant de droit et de justice que l’autre qui le leur avait imposé. La même loi qui a fait l’autorité la défait alors : c’est la loi du plus fort. Quelquefois l’autorité qui s’établit par la violence change de nature ; c’est lorsqu’elle continue et se maintient du consentement

vérité est une connaissance conforme au réel que les Lumières cherchent à dévoiler avec leurs facultés intellectuelles. Nous pourrons nous demander dans quelle mesure la littérature d’idées peut être un cri de guerre pour la raison, la tolérance et la justice. Pour répondre à cette question, il est tout d’abord nécessaire de s’interroger sur l’indignation camouflée que les Lumières font passer par leurs écrits. Puis, il convient d’étudier la façon dont les Lumières, par le biais de la littérature engagée

. . . . . . . . . 85 Avez-vous bien lu ? 86 Parcours de lecture 87 Les combats du siècle des Lumières contre l’injustice 92 Les armes littéraires des combats contre l’injustice (XVIe-XVIIIe siècles) 101 Utopies et loi naturelle : un idéal de justice ? 110 Archives Flammarion ■ Portrait de Denis Diderot (1767), par Louis-Michel Van Loo (1707-1771). PRÉSENTATION n désigne par le mot « Lumières » un mouvement culturel européen du XVIIIe siècle 1, caractérisé par la valorisation de l’esprit

connus par leurs écrits et leurs actes en faveur de la justice et de la liberté, se souciant d’éclairer le peuple. D’autres, comme Descartes, Leibniz ou Kant sont moins connus et utilisent un système de penser. Ils ne se contentent pas d’écrire, ils se mettent en péril au risque de se faire arrêter et emprisonner. Par exemple, Diderot consacre plus de vingt ans de sa vie à la publication de l’Encyclopédie, énorme dictionnaire de 28 volumes de texte et de 11 volumes d’illustrations consacré à toutes

religion et remettre en cause l'optimisme. Mais ce qui est intéressant dans ce chapitre, c'est que la critique se fait comme un récit, comme une scène de théâtre vivante avec un dialogue et pourtant ce récit n'en sera pas moins efficace qu'un texte argumentatif. On va suivre deux grands axes, V. mène ici deux tonalités. La première, c'est le pathétique, Voltaire veut toucher les sentiments du lecteur, son coeur, ses émotionsEt la deuxième, c'est la raison. Cela revient souvent chez Voltaire. I

tournant de la Seconde Guerre mondiale, cela démontre l’impact des textes argumentatifs, ici à l’échelle mondiale. Le Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo persuade le lecteur de la nécessité d’abolir la peine de mort et dénonce sa barbarie, l’auteur s’engage donc dans la politique de son temps. Tout comme J’accuse, la lettre ouverte adressée au président de la République française, Emile Zola conteste la décision de justice à propos de l’affaire Dreyfus. Les écrivains peuvent aussi être engagés

réseau : - Textes internationaux à vocation universelle : la DUDH qui représente la référence pour tous les autres textes ; les 2 Pactes ; - Conventions à objet spécifique (droits de la femme, de l’enfant…) ; - Textes régionaux (CADHP…) Aucun texte n’existe sans le cadre de référence qu’est la DUDH.. Processus d’internationalisation (production de textes en vue desquels s’engagent les Etats) et d’universalisation des DDH (les sociétés civiles se saisissent de ces textes et s’y reconnaissent)