Tyran

La fin du règne des tyrans n'est pas suivie par une période de troubles révolutionnaires, ce en partie parce que les tyrans avaient respecté le système mis en place par Solon. Comme la tyrannie a mal fini, le peuple athénien, en 510, prend des mesures pour éviter un retour de la tyrannie. On remet en vigueur une ancienne loi qui déclare hors la loi quiconque tente d'établir un régime tyrannique. On procède aussi à une révision de la liste des citoyens, afin d'exclure des individus qui avaient profité

Pisistrate L'image d'un tyran modéré "philanthrope" et "ami du peuple" Pourquoi modéré? Parce que son pouvoir n'a pas uniquement servi ses intérêts. Pour établir son pouvoir, Pisistrate applique une politique populiste. il écarte les aristocrates et s'appuie sur la masse des plus pauvres. a) Un tyran démagogue Pisistrate, aristocrate lui-même, a pris le pouvoir au nom du peuple et a lutté contre les autres aristocrates. Il profite de leurs divisions et rencontre donc rarement une

organisée en royautés (homériques). Les premiers JO sont attestés vers -776 avant notre ère. Vers - 624, on voit apparaitre des Hommes providentiels: des législateurs. C'est aussi la période où l'ont voit apparaitre la Tyrannie, où il y a de bons tyrans: c'est une bonne forme de gouvernement, ils veulent transmettre le pouvoir au peuple. C'est une période charnière, où on passe de la période archaïque à la période classique. Donc un transition importante. A partir du 5e siècle avant notre ère:

belle ? Une telle absence de contraintes est-elle seulement souhaitable ? Ne faut-il pas s’interroger sur le genre de plaisirs qu’un désir sans frein est capable de susciter ? Et sur la façon dont nos désirs évoluent dans de telles circonstances ? Le tyran qui ne connaît aucun obstacle, ou l’enfant capricieux nous donnent-ils vraiment l’image du bonheur ? Ou bien ne montrent-ils pas que l’absence de contraintes suscite des désirs chaque jour plus tyranniques et un mécontentement permanent ? Ainsi, les

est un tyran. Selon La Boétie, la cause de la tyrannie est lorsque l'homme recherche son intérêt personnel. Or, dans la pièce, Callimaco recherche tellement à assouvir cet intérêt qu'il affirme même qu'il est « prêt à prendre quelque parti bestial, cruel et abominable.»4 Ensuite, le philosophe ajouterait que le personnage arrive à ses fins non par vertu, mais selon le concept de la structure pyramidale de la tyrannie. Ce concept se basant sur le fait que l'homme un «palier» en dessous du tyran accepte

considérée comme un enjeu majeur de la portée critique de la pièce dans la mesure où elle est présentée comme le berceau de la tyrannie et le lieu d’épanouissement du vice. À cet égard, Florence, comme un personnage vivant, semble à l’image de son tyran, Alexandre : « si le duc ne sait pas que sa ville est une forêt pleine de bandits… et de filles déshonorées… »(I, 1), « Florence la bâtarde » (I, 6). Cité pervertie, lieu de fêtes et de débauche, elle est très souvent érotisée par un Lorenzo très lucide

apparaissent. TYRAN (mot pas forcément négatif) un homme qui a tous les pouvoirs dans sa cité à un moment. Il n’y a pas d’hérédité ni de légitimité pour le Tyran. On arrive à environ 700 cités en Grèce (800 en méditerranée) : Ile Amorgos 123 km², Spartes (8500 km²) et Athènes (2400 km²)= différence de taille en terme de territoire et différence en nombre de citoyens Athènes (plus de 40 000) et Sparte (7000). II. Précisions chronologiques Dracon législateurs (voir dico) Solon Pisistrate tyran de la

l’homme qui ose se donner lui-même, et lui seul, pour but à la race humaine entière. Dans cet extrait de Dix années d’exil, elle critique alors le gouvernement de Napoléon, l’insécurité qui règne dans le pays et l’absence de liberté offerte par le tyran.. BENJAMIN CONSTANT était très proche de Madame DE STAEL et de ses idées républicaines. Il traita Napoléon « d’Atilla, de Gengis Khan, plus terrible, plus odieux encore » « Je n’irais pas, dît-il ensuite, misérable déserteur, me traîner d’un pouvoir

appelait ceci le déploiement. II] Politique: a) La tyrannie Les tyrans sont issus de l’aristocratie et gouvernent sans les nobles et parfois même contre eux. Ce sont des dirigeants qui aiment la puissance et qui instaurent un régime fort, absolu. Mais les régimes tyranniques n’ont pu résister à la volonté des citoyens d’obtenir des responsabilités politiques. Exemple : Pisistrate (Πεισίστρατος) fut le premier tyran d’Athènes (VIè siècle avant J-C). Il s’empara du pouvoir grâce à la ruse

relations humaines qui en découlent. Nous allons nous demander comment le pouvoir est théâtralisé dans ces extrait : quelle facette de ce pouvoir y est représentée et comment est-elle mise en scène ? Ces quatre textes présentent tous la figure du tyran : tous les personnages dotés de pouvoir y abusent de leur autorité, prenant des décisions arbitraires et excessives comme l'emprisonnement de Don Cristovale par Ferrante, les exécutions sommaires ordonnées par Ubu ou Caligula, pour l'argent mais aussi