Tyran

a) Tyrannie Grande époque de la tyrannie  après -650 : Là où elle est le plus répandue. 1) Qu’est-ce que la tyrannie Exercice du pouvoir absolu par un seul homme mais au mépris des lois et usages selon son bon vouloir. Pouvoir despotique Un tyran détient le pouvoir  Tyrannos Modalités particulières d’une tyrannie : Pouvoir acquis par la force : coup d’état, usurpation Pouvoir illégal Contre les lois et usages Pouvoir où son exercice est spécifique violent et arbitraire Pouvoir démagogique :

un pouvoir qui n'émane pas de la volonté générale. La liberté du peuple est niée, et le tyran s'impose par la force. On distingue plusieurs formes d'oppression: Le despotisme est le régime dans lequel le pouvoir est aux mains d'un seul homme, aux dépends du peuple sur lequel il exerce son autorité. La tyrannie est un despotisme dur, injuste et cruel où règne la loi de l'arbitraire. A la différence du tyran, le despote s'inscrit généralement dans une continuité héréditaire et ancienne (parfois

Boétie de réfléchir à ce qui amène l’humanité à accepter la domination d’un tyran. Dans ce texte au ton oratoire, La Boétie dénonce le fait que le peuple accepte d’être totalement asservi à son souverain qu’il transforme en tyran. Problématiques possibles : Dans quelle mesure ce discours est-il un réquisitoire contre le peuple, alors même que La Boétie cherche à le défendre ? Ce discours est-il un réquisitoire contre le tyran ou contre le peuple ? Comment La Boétie présente-t-il le paradoxe de la

début de l’œuvre, après citation de mot d’Ulysse (il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres) et explicitation du but du traité, non pas de classer les régimes politiques (Vr Platon, De la République) mais de comprendre pourquoi le peuple obéit à un tyran Extrait : 3 paragraphes très rhétoriques afin d’entamer réponse à la question posée Pbq : Comment LB éclaire-t-il son lecteur sur « le paradoxe de la tyrannie » ? 1. Pourquoi obéit-on ? Une définition de la tyrannie Sous-parties suivent l’ordre

différenciations hiérarchique, de condition servile ou libre est artificielle, acquise ) Argument 3 : La nature nous a tous mis en compagnie ( en groupe ) ( argument 3 = FAUX ) 3) Quels sont les trois types de tyran? L'auteur choisit-il entre les trois? Pourquoi? Les trois types de tyran sont : - ceux élu par le peuple - ceux qui ont pris le pouvoir par la force - ceux qui ont eu le pouvoir par succession L'auteur ne choisis pas entre les trois car leur façon de gouverné est la même

retournement de dialectique, l'excès de liberté devenant un excès de servitude. Le tyran pour Platon va donc s'intensifier dans son pouvoir en s'appuyant sur des complices et par l'instrumentalisation de la peur va maintenir son règne. Platon plus deux millénaires avant le nazisme avait prévu cette potentialité de prise de pouvoir du tyran quand l'élite se méfie du plus bas peuple et réciproquement. -Aristote lui estime que le tyran gouverne arbitrairement en méprisant les lois dans son seul intérêt égoïste

les choses. Nous verrons alors pourquoi pouvons-nous parler d'un pamphlet pour ce Discours de la servitude en deux partie, tout d'abord, comment la Boétie montre la domination absolue du Tyran, puis comment pousse-t-il les français à agir. I/ Une domination absolue du tyran Le roi montré comme un tyran. a. Le champs lexical de la violence : "dévaster"l4; "dégât" l7; "frapper" l16"... Le champs lexical de la tyrannie : "ce maître" l11; "dépouiller" l4;"meurtrier" l20... b. Une

contrainte comme absence de liberté Hoc volo, sic jubeo, sit pro ratione voluntas, écrivait le poète latin Juvénal : « parce que je le veux, parce que je l'ordonne, que ma volonté me tienne lieu de raison ». Telle pourrait bien être la devise des tyrans, qui donnent à leurs caprices force de loi, et qui pour toute justification se bornent à ajouter que tel est leur bon plaisir. « Parce que tel est mon bon plaisir », voilà en effet la formule par laquelle Louis XIV terminait ses édits : ce que je

considérée comme un enjeu majeur de la portée critique de la pièce dans la mesure où elle est présentée comme le berceau de la tyrannie et le lieu d’épanouissement du vice. À cet égard, Florence, comme un personnage vivant, semble à l’image de son tyran, Alexandre : « si le duc ne sait pas que sa ville est une forêt pleine de bandits… et de filles déshonorées… » (I, 1), « Florence la bâtarde » (I, 6). Cité pervertie, lieu de fêtes et de débauche, elle est très souvent érotisée par un Lorenzo très

l’éperon lorsqu’on veut le dompter. Il veut témoigner par là, ce me semble, qu’il ne sert pas de son gré, mais bien sous notre contrainte. Même les boeufs, sous le joug, geignent, et les oiseaux, en cage, se plaignent. Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. Il est vrai qu'au commencement on sert contraint et vaincu par la force ; mais les successeurs servent sans regret et font volontiers