Le Comparatisme

C’est dans ce contexte que se poursuivent les travaux sur les classements de l’article et des pronoms, et que plusieurs changements se dessinent. IV.Le 19e siècle :___________________________________________________ A. Romantisme allemand et comparatisme : Au 19e siècle, le Romantisme allemand, l’empreinte du Positivisme et de la foi scientifique poussent la linguistique à faire ses premiers pas. On s’intéresse entre autres à systématiser l’évolution des langues, à fournir des «lois» expliquant

Au cœur de la démarche comparatiste moderne, de toute étude de l’Autre en droit autre sujet, texte ou pratique- apparaît ce retour secret que nous faisons sur nous-mêmes, à chaque fois, malgré ses hidrotiques toujours singulières, la trame du comparatisme. Geste ancien et pourtant étrange, l’autre connaissance ou la connaissance de l’Autre s’est beaucoup transformée à l’époque moderne, alors qu’elle revêt un aspect tout à fait inconnu aux siècles précédents. Nommer l’Autre, certes, et le classifier

il est anthropologue et juriste, il réfléchit aux questions d'organisations sociales à partir d'une description des pratiques matrimoniales, réglées par des coutumes et donc par du droit. C'est lui qui exécute le passage du cas à la théorie. Un comparatisme qui inclut chez lui les sociétés contemporaines d'Amérique et d'Australie. Il en fait déjà une catégorie universelle, mais en tant que forme dérivée de l'animisme, relationnellement à une organisation sociale spécifique, on retrouve l'idée de

la psychologie médicale et la psychanalyse. - Rapport étroit avec la phénoménologie( Merleau-Ponty) impliquant une description rigoureuse de la subjectivité et des références à la dimension vécue de l'expérience . - Étude de l'individu sans comparatisme . - Critique de la prédominance du diagnostic au profit d'une observation continue. Il s'agit là d'un moment charnière dans la discipline car elle prend de la distance avec le modèle médical, s'oriente vers la question de l'intersubjectivité

scientifique, transculturel, donc dans un mode de représentation n’étant pas relatif à une culture. Dans son travail l’anthropologue tente de relier le local et le global, de découvrir l’universel dans le particulier. « L’anthropologie sociale [use] du comparatisme et [vise] à la généralisation, elle a pour objet une réflexion sur les principes qui régissent l’agencement des groupes et la vie en société sous toutes ses formes. Tache ambitieuse qui ne peut être menée à bien qu’en isolant des domaines. » (héritier

les prétentions de l’humanisme. En effet, l’homme n’est véritablement qu’loup pour l’homme*1 *1 "A l’état de nature l’homme est un loup pour l’homme, l’état social l’homme est un dieu pour l’homme ‘’  Thomas HobbesEn anthropologieDumézil et le comparatisme génétique des mythes. Cette science va se servir de méthodes de la linguistiques structurales , notamment la diachronie (étude l’évolution la langue dans le temps) et la synchronie (étude de la langue à un moment donné de temps) .D’ailleurs

quels critère ? Le comparatif culturel est très dangereux. Tout rassemblement humain à tendance à se comparer avec un autre. Souvent en vu d’établir une hiérarchie voir pratiquer une certaine forme de rejet. C’est pour cela que l’on dit que le comparatisme culturel doit être manié avec beaucoup de précaution. Les scientifiques disent que la comparaison à l’intérieure d’une même culture du passage d’un niveau à un autre au entre 2 culture différentes nous apprennent beaucoup sur l’évolution de l’homme

l'articulation entre les niveaux d'observation et définir les modalités des généralisations nécessaires ? Dans une autre direction, comment établir les conditions d'ajustement et de confrontation des résultats, et plus fondamentalement développer un comparatisme dont l'exigence n'a cessé d'être proclamée, mais dont la mise en œuvre demeure l'exception ? Ces préoccupations renvoient nécessairement à une interrogation sur les capacités démonstratives de l'histoire et, inséparablement, sur son écriture. Prouver

faits individuels. Ces faits relèvent d’une discipline nouvelle, la sociologie, qui doit enquêter et non se limiter à spéculer, et chercher à expliquer les faits sociaux par d’autres faits sociaux. Ses meilleurs outils sont la statistique et le comparatisme.
Armé de ces intentions, É. Durkheim n’hésite pas à se faire remarquer en choisissant des sujets à l’occasion provocants. En 1897, il publie Le Suicide  : cet acte que tout le monde croit personnel, É. Durkheim montre qu’il varie en fonction de

du sous-développement. La modernisation n’a pas pris. Il s’agit de la modernisation qui ressemble à celle que l’Occident a connue, ou la logique de tout Etat-nation en période de révolution industrielle. Cette schématisation est le résultat d’un comparatisme sommaire et schématique d’imitation ou de mimétisme : la transmission des modèles occidentaux a été inefficace, les élèves seraient mauvais et peu obéissants. Une autre formule mythologique voudrait que la ‘culture de la tradition’, c’est-à-dire